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 Caliel F. Eichmmann - « Parce que ma liberté passe par mon indépendance. » [Administratrice - En cours !]

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AuteurMessage
Caliel F. Eichmmann
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Caliel F. Eichmmann


Messages : 8
Date d'inscription : 24/09/2014

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Caliel F. Eichmmann - « Parce que ma liberté passe par mon indépendance. » [Administratrice - En cours !] Empty
MessageSujet: Caliel F. Eichmmann - « Parce que ma liberté passe par mon indépendance. » [Administratrice - En cours !]   Caliel F. Eichmmann - « Parce que ma liberté passe par mon indépendance. » [Administratrice - En cours !] EmptyDim 28 Sep - 10:03

feat Garrett Hedlund
Caliel Faust Eichmmann
« Parce que ma liberté passe par mon indépendance. »



Présentation



« Caliel Faust Eichmmann est né le 7 décembre 1990 à Winterfield. Aujourd'hui, il est donc un homme âgé de vingt-quatre ans, et quelques mois, et quelques poussières. La vie a voulu qu'il redevienne célibataire le premier jour de l'année, le premier janvier 2012. S'il fallait brosser un portrait de cet homme aussi vite que possible, si l'on devait retenir, chez lui, un défaut et une qualité... quiconque le rencontrerait comprendrait qu'il est aussi impulsif que déterminé. »

Poids : 75 kilogrammes.
Taille : Un mètre quatre-vingt-cinq.
Race : Les Humains.
Groupe : Les Humains Indépendants.
Métier : Caliel est à la tête des Humains Indépendants.
Ambition : Il souhaite beaucoup de choses... Mais son objectif principal et assumé est le suivant : il désire que ceux lui étant semblables puissent vivre comme quiconque, et comme ils l'entendent, qu'ils puissent s'intégrer librement à la société, et sortir de leur condition d'éternels parias.
Lieu d'habitation : Quoi qu'il passe le plus clair de son temps au Quartier Général, il possède un ***** à *****.
by WhisperB


Physique



Que dire de notre homme ? Comment le jugerait-on, au premier abord, au premier regard, lorsque les choses sont encore perçues brutalement, dans toute leur laideur, ou toute leur splendeur, sans que les yeux habitués n'aient gommé certains de leurs atours, sans que les pupilles lassées n'aient omis aucun détails ? Comment saisir l'instant où les regards se croisent, où l'un juge l'autre sans le connaître, ou l'échange tacite se fait, saisissant les êtres, les figeant pour la fraction de seconde suivante ?

Le premier élément aimantant le regard, c'est lui-même. Les yeux de Caliel sont bleus. Ils sont comme deux lacs au milieu d'un désert ; rafraîchissements, apaisements, soulagements ; deux lacs dont le fond est aussi noir que la nuit ; deux lacs dans l'abîme desquels les étoiles aiment venir se mirer. Souvent, ils sont plissés, et forment de petites rides aux coins de ses paupières. En effet, ses cils sombres ne semblent pas capable de les protéger des attaques d'un soleil ardent. Sans doute oublierait-on le plus important, si nous ne citions pas l'expression de son regard. Sauvage, déterminée, révoltée, méprisante. Votre épaule percute la sienne ; elle est solide. Vos mains s'effleurent ; elles sont rugueuses.

Le croiser, simplement, ne vous permettrait pas d'apercevoir beaucoup plus de choses de sa personne. Mais, admettons que vous soyez tous deux sur un trottoir, la route étant la seule barrière entre vous. Vous remarquerez ses vêtements. Généralement, il se vêt d'un jean, et alterne entre sweat à capuche, chemise en tout genre ou tee-shirts, la plupart du temps recouverts d'un blouson de cuir. Peut-être remarquerez-vous la cigarette coincée entre ses longs doigts, pourtant calleux à certaines jointures. De temps à autres, il la porte à ses lèvres, bien dessinées quoi qu'elles soient celles d'un homme. La fumée expirée se dissipe comme une légère brume autour de son visage aux traits quasiment angéliques, et vient se perdre dans les mèches rebelles de ses cheveux blonds coiffés en bataille.

Imaginons cette fois que vous soyez assis l'un en face de l'autre, pour une quelconque raison. Sa peau est blanche et semble dépourvue d'imperfections. Cependant, son front est ridé de quelques plis soucieux, qui le feraient presque passer pour plus âgé qu'il ne l'est. Une ébauche de sourire se dessine sur sa bouche, dévoilant des dents blanches et alignées. Des esquisses de fossettes menacent d'apparaître. Il passe sa paume, où s'enchevêtre des lignes sinueuses, sur son menton qu'une barbe de quelques jours durcit. Puis ses doigts remontent le long de l'arrête de son nez, large au niveau des narines. Il cligne des yeux : quelques cernes les soulignent. Il vous jette un coup d’œil qui suffit pour vous donner l'impression qu'il vient de vous mettre à nu.


Caractère



Caliel... Il s'agit d'un prénom angélique. Quelle ironie, pour un homme qui réfute le système ! Réfuter pour s'opposer, s'opposer sans baisser la tête, en gardant le menton levé, en se déplaçant fièrement, le port altier et la démarche libérée. Pure utopie. Peut-être même que cela tient de l'illusion, du mirage ? La réalité serait belle, si elle était ainsi. Chaque jour, chaque nuit, ils doivent se terrer, patienter et agir dans l'ombre, pour créer une ère nouvelle qui correspondrait plus à leur image, à leur philosophie de vie. Une ère qui tolérerait leur envie et leur besoin d'indépendance, ou encore la fatalité qui s'est abattue sur eux, le sort s'étant détourné d'eux, ou, au moins, qui accepterait leur différence.

Être différent. Une manière de s'affirmer en se détachant du groupe, une façon de se révolter en refusant de s'adapter aux principes d'une société. En somme, être un déviant. Dévier du chemin proprement tracé par les citoyens, leurs ancêtres, les institutions et l'État, s'écarter de la route unique, de la route ultime, du sentier de l'apothéose... pour se retrouver dans les bas-fonds d'une hiérarchie. Au premier abord, ce n'est pas une situation enviable. Il faut se cacher, instaurer un jeu de masques, lancer une valse des apparences. On doit vivre au jour le jour, à la nuit la nuit, au moment le moment, à l'instant l'instant. Pourtant, c'est cela qui plaît à Caliel : l'adrénaline procurée par l'insécurité.

Depuis toujours, il a senti en lui ce besoin de repousser ses propres limites, mais aussi toutes celles qui conditionnaient son existence. En lui veille l'envie de montrer que tout n'est pas fatal, que rien n'est constant, que tout peut changer, que rien n'est inéluctable ; et que lui saura s'élever au-dessus des règles et des préjugés. Orgueil et prétention, dîtes-vous ? Sans doute ces deux passions se mêlent-elles dans la débâcle de ses grands idéaux, dans les sentiers aussi sibyllins que sinueux de sa pensée utopique. Peut-être constituent-elles même la quintessence de sa personne. Occulte-t-il ses peurs et ses craintes derrière elles ? Possible.

Néanmoins, à le voir ainsi, vaquer de lieu en lieu, vagabonder d'occupation en occupation, les traits durs et le regard déterminé, nul n'aurait envie de venir le provoquer. La Peur elle-même se priverait-elle du droit d'exercer sa puissance sur cet homme rejeté, exclu, banni ? Serait-il pestiféré à ce point ? Vous pourriez croire cela. Pourtant, si vous apprenez à le connaître, si vous parvenez à obtenir sa confiance, vous prendrez sûrement conscience du fait que cet être est Humain, au même titre que n'importe quel autre. Cette simple constatation prouve qu'il est identique aux autres : soumis aux aléas de la nature humaine.

La peur, la colère, la haine, l'amour, l'espoir, la tristesse, la honte, le regret, l'avarice, l'envie, le désir, le mensonge, la vérité, la lâcheté, l'honneur, la fierté, l'orgueil, la vanité, la vengeance... Tant de choses, et si peu à la fois, pour résumer l'humanité, pour résumer un homme ; pour en dépeindre la nature sommairement, en quelques mots, sans artifice, sans fioriture, dans sa magnificence et son horreur pures et simples, avec authenticité.

L'authenticité, une valeur qui se perd et s'oublie, tandis que le temps passe et que les gens naissent, vivent, puis meurent. Pourtant, c'est une valeur à laquelle Caliel tient. Ce qu'il apprécie, chez une personne, c'est la franchise et l'honnêteté dont elle peut faire preuve, à propos de sa personnalité comme du reste. Il fait lui-même des efforts pour mentir le moins possible. Cependant, il lui arrive de devoir garder la vérité pour lui-même, et dans ce cas, il ne l'énoncera pas. Certes, il est têtu, et plus encore, tenace. Mais, à bon escient, ces deux traits de caractères se transforment en qualités.

A mauvais escient, comme tant d'autres, elles peuvent le conduire à agir de façon irrationnelle, ou tout du moins inconditionnelle. S'il préfère discuter et négocier pour régler la plupart des problèmes qui s'imposent à lui, il n'est cependant pas exclu qu'il décide, ou soit forcé par des impulsions, à user de ses membres pour se défendre ou faire valoir ses idées. Étant enfant, il a dû apprendre que la vie ne l'épargnerait pas, et que savoir se servir de ses poings comme de sa tête se révélerait toujours utile. Il ne faut entretenir aucune faille, mais palier à chacune.

Croquis, esquisse, schéma, brouillon... jamais il ne sera possible de détailler le comportement, le caractère et le tempérament d'un homme dans son intégralité. La tache est ardue. Qui pourrait prétendre connaître par cœur un individu, mieux que lui-même ne pourrait se connaître ? Quand bien même il existerait un être capable d'avoir l'objectivité et le recul nécessaires, le regard analytique et perçant essentiel à sa propre introspection, il resterait toujours en lui des parts d'ombres inexplorées, que toute une vie ne suffirait pas à découvrir.


Histoire



Inlassablement, ils tombaient. Venus de haut, ils descendaient en tourbillon, pour affleurer en bas. Glissant depuis la voûte céleste, ils se posaient sur le sol. Rien n'aurait su interrompre le cours de leur existence passive, rien n'aurait su perturber la fatalité entourant leur condition. Ils tombaient. C'était un fait. Ils ne pouvaient y échapper. Et s'ils s'étaient mis à grimper, partant des racines pour rejoindre les cimes ? Nul n'aurait compris, car cela n'entrait dans aucune conception, ou tout du moins dérogeait à toute rationalité. Les flocons chutaient, s'écrasaient sur le sol, formaient la neige, brillante et rutilante, et aucun déviant n'était admis. Pourtant, la neige était fragile. Un coup de pied... et vous envoyiez tout voler.

Il s'agissait d'une manière comme une autre de percevoir la société. La neige représentait ce qui était communément admis et désiré. Les flocons tombants caractérisaient ces milliers de vie qui suivaient toutes, plus ou moins, le même chemin, et se fondaient dans la masse. Et ceux que l'on ne voyait pas, que l'on pouvait seulement imaginer, les flocons montants, étaient tous ces gens qui choisissaient une autre voix, et qui la payaient parfois à un prix trop élevé, qui devaient vivre avec un fardeau trop important pour leur unique personne ; ces gens ignorés et rejetés.

Caliel, voyant la neige, chaque jour et chaque nuit, ne pouvait s'empêcher de songer à cela. Et aussitôt qu'il pensait à sa condition, des souvenirs lui revenaient, images frappantes, parfums entêtants, sons assommants, goûts doux-amers, touchers captivants... Et s'il y avait un moment à retenir... c'était celui-ci.

« Sœurs, frères... Je pourrais vous débiter un long et barbant discours sur la nécessité d'accéder à l'égalité, ce discours rabâché ou contredit. Je le pourrais, mais cela ne suffirait pas à éveiller la flamme de la combativité en votre cœur ; vous connaîtriez déjà chaque argument sur le bout des doigts ; vous pourriez devancer mes propos, refuser même de les écouter. Non... je ne ferai pas ce discours. Certes, l'égalité est une valeur importante, mais je suis au regret de vous dire que de mon point de vue, sa quête a perdu tout sens. On ne nous l'accordera jamais. Personne ne veut supporter la compagnie de vermines telles que nous ! Personne ne veut être comparé à des parasites de notre espèce ! Nous sommes les rats qui arpentent les égouts et diffusent les maladies, les vers qui dévorent les fruits et détruisent leur matière, les moustiques qui sifflent de manière stridente et volent ce qui ne leur appartient pas. Nous sommes des bannis, des parias, des rejetés. Voilà la vérité. On répugne, on dégoûte, on insupporte ! Et les choses ne changeront pas. Elles ne changeront jamais. Hum... je vois vos regards attristés, énervés et perdus. Pourtant, il faut s'y résoudre... Allons, comment quelques gouttes d'eau suffiraient-elles à faire pousser un arbre dans le désert ? Elles seraient aussitôt absorbées par la mer de sable, englouties sous l'épaisse couche dorée. Je sais, c'est une atroce, une horrible fin ! Et à cela je n'aurais qu'une seule chose à dire : répondez à ceux qui, par ce genre de propos, vous méprisent ! Montrez-leur que les rats, les vers et les moustiques sont des lions, des ours et des loups ! Prouvez-leur notre valeur ! Allez dans les rues, le jour, et défiez les regards, chassez les préjugés, matez les offuscations ! Nous sommes Humains au même titre que les autres. Seuls nos choix nous différencient. Nous avons choisi de conserver un être en un seul corps, et non de former un être avec deux corps. C'est un droit dont nous devrions tous pouvoir disposer à notre guise, sans risquer des représailles. Je veux mon indépendance autant que vous souhaitez la vôtre, ne serait-ce que pour une seule raison : ce que j'appelle ma liberté passe par mon indépendance. »

[EN COUUUURS]


Derrière l'écran



Pseudo : Whisper(B).
Âge : 18 ans.
Comment avec-vous connu le forum ? J'me suis renseignée... What a Face
Que pensez-vous du forum ? J'ai aidé à sa construction... je vais quand même pas dire qu'il est moche et pourri xD
Quelle est votre disponibilité ? J'essaie de venir le plus possible. Normalement je devrais tenir le rythme (avec un bon planning ! 8D).
Autre chose ? BOUH ! Eh ouais Nova, Garrett est sexy, mais Caliel l'est encore plus ! /sbaf
Code : Validé par Caliel.
©️ Ju de Never-Utopia
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Caliel F. Eichmmann - « Parce que ma liberté passe par mon indépendance. » [Administratrice - En cours !]
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